Nain, maître aumônier du Bouclier, il voue sa vie à la traque des berserker. Lorsqu’Oboron est fait prisonnier dans les cales d’un navire, il lui expliquera qu’il est le descendant d’une lignée maudite, d’un ancêtre né d’un pacte avec d’obscures forces ayant engendré de grands cognars, sombraient parfois dans la bestialité, massacrant compagnons et ennemis avec la même rage. Faradum lui laisse un choix : mourir dans les cales, au moment où il lui parle, ou sur un champ de bataille, avec honneur. Refusant de partir comme son père, Oboron choisit la seconde option.
Il se révèle que Faradum est également un berserker, d’une grande puissance et donc potentiellement extrêmement dangereux pour les ordres nains qui s’assurent que l’ancienne lignée hérétique ne puisse jamais revenir au pouvoir. Enfermé pendant plusieurs siècles, Faradum avait fini par se convaincre qu’Yjdad lui avait assigné une mission et que ses geôliers l’avaient libéré afin qu’il traque ses semblables.